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Cesar, 77 ans, Sculpteur Inspiré par Ferraille Publié: 8 Décembre Paris en 1998, le 7 déc Cesar, un artiste français de premier plan qui a créé de grandes sculptures formées par des voitures écrasées et de la ferraille, est décédé dimanche à Paris. Il était 77. Amis dit que la cause était le cancer. Cesar - il est né César Baldaccini, mais utilisé uniquement son prénom - était Frances sculpteur le plus connu de ces dernières décennies, mais ses œuvres a provoqué des réactions fortement contradictoires. Cesar a été aimé et détesté, Le Monde a écrit le lundi. Seulement tard dans la vie était-il adopté par l'establishment culturel français: il était représentant Frances à la Biennale de Venise 1995 (où il a montré un monument de voitures écrasées) et sa première rétrospective dans un musée français n'a pas eu lieu jusqu'à l'année dernière, au Jeu de Paume. D'ici là, cependant, le travail par le, artiste barbu trapu avait commencé à regarder daté. Son amour de la vie et la bonne humeur à peine déguisé son anxiété et son désir légitime d'être reconnu comme l'un des grands sculpteurs de son temps, Jack Lang, ancien ministre de la Culture française, a déclaré. Cesars critiques les plus sévères ont dit qu'il était obsédé par l'auto-promotion, mais il semble sentir qu'il n'a pas gagné l'appréciation qu'il méritait. Il se plaignait une fois qu'il n'a jamais eu un marchand d'art de le promouvoir aux États-Unis et qu'il n'a pas été correctement reconnue à Paris. Au moins deux de ses sculptures sont néanmoins vus quotidiennement par des milliers de Parisiens: une grande statue de equestrianlike, Centaur - Hommage à Picasso, qui se dresse sur la rue du Cherche-Midi le long de la rive gauche et La Pouce, une reproduction de 40 pieds de haut de son pouce à La Défense dans l'ouest de Paris. Né à Marseille pour les parents immigrés italiens, Cesar a quitté l'école à 12 pour aider son père faire des tonneaux, mais à 15 ans, il a commencé des cours du soir à l'Ecole des Beaux-Arts de Marseille. Six ans plus tard, il entra à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris, où il a vécu le reste de sa vie. Travailler d'abord avec du plâtre et de fer, puis avec le plomb, le fil et la céramique, il a d'abord été influencé par les goûts de Brancusi, Picasso, Giacometti et Germaine Richier. Mais au début des années 1950, quand il était trop pauvre pour acheter du matériel, il était ravi de découvrir le potentiel offert par la ferraille. Vous pouvez trouver nulle part et l'acheter pour presque rien, at-il expliqué plus tard. Il a commencé par la création de ce qui est devenu connu sous le nom de son bestiaire, une série de poissons, d'animaux et d'insectes en ferraille qui lui a valu une invitation à exposer à la Biennale de Venise 1956. Il était en 1960, cependant, qu'il a présenté ses premières voitures écrasées au Salon de Mai, provoquant un tollé de nombreux critiques d'art français. Les gens pensaient que je l'ai fait Id donc être parlé, parce que je suis un provocateur, il a rappelé, tout en admettant qu'il était une forme de rébellion à présenter un tel objet agressif. Ces travaux ont conduit lui être associé avec les Nouveaux Réalistes. Dans les années 1960, quand on critique d'art l'a décrit comme un prédateur moderne du folklore industriel, il a vu son travail comme aller dans trois directions: la compression (voitures), l'expansion (sculptures lavalike multicolores en polyuréthane) et gravures (La Pouce ou élargie Sein). En 1976, il a acquis encore plus grande renommée d'une manière inattendue: il a été chargé de créer le trophée pour un nouveau équivalent français des prix du cinéma Oscar, le César. Il aimait le cinéma et il aimait être son symbole, a déclaré Daniel Toscan du Plantier, qui dirige Frances industrie du cinéma académie. Photos: L'artiste français Cesar montre une sculpture de voitures écrasées à la Biennale de Venise, où il a représenté son pays en 1995. (Reuters)
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